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18 février 2007 7 18 /02 /février /2007 23:53

cola

300_cokezeroChaque nouvelle variante de Coca qui sort, c'est un nouveau sujet de débat. Preuve de la grande popularité de la marque. Le dernier né se dénomme "Zero" et veut proposer le même goût que le Coca original, tout ça sans un gramme de sucre. Et bien pour ma part, je l'ai testé il y a quelques semaines déjà et malgré un packaging qui en jette, il ne m'a pas laissé un souvenir impérissable. C'est un ratage. Personnellement, je ne retrouve pas du tout le goût unique de l'original. Ce Zero est aseptisé et manque de personnalité. Bref je ne suis vraiment mais pas du tout convaincu de l'intérêt de cette nouvelle déclinaison, surtout avec l'existence du Coca Light, très réussi dans son genre. Après un Coca Blak écoeurant, ce Zero ne relève donc pas le niveau pour ma part. Ils feraient mieux de relancer comme il se doit le Cherry Coke (aux USA c'est Jay-Z qui se charge du repackaging du soda à la cerise), ma boisson favorite. Mais bon, on oublie vite cet échec au vue des excellentes expériences que nos palais peuvent ressentir avec les vraies réussites made in Coke: Le Classic, le Light, le Cherry, le Light Lemon et le Vanilla. Les must. Et vous? Avez-vous été convaincu par ce Zero et quelles sont vos chouchous?

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18 février 2007 7 18 /02 /février /2007 22:25

piafban

Le biopic est le genre à la mode actuellement au cinéma, Hollywood nous a livré ses mythes dans de superbes films tels que Ray ou Walk the Line. Il n'y a pas de raisons pour que le cinéma français ne s'y essaye pas aussi sur une aussi grande échelle. Et il faut dire qu' Olivier Dahan a eu de grandes ambitions avec sa "Môme", et qu'il a fait le maximum pour les satisfaire. Au bonheur des spectacteurs. Car il faut avouer que ce film est une réussite portée par le jeu inouï de Marion Cotillard. Cette dernière est tout simplement époustouflante dans la peau d'Edith Piaf. Elle parvient à nous faire instantanément oublier son physique de rêve dans la vraie vie pour laisser place à l'incarnation -presque flippante tellement elle est réaliste- de la chanteuse. Une leçon de cinéma dont beaucoup d'actrices françaises pourraient prendre note. Les seconds rôles (Emmanuelle Seigner, Jean-Paul Rouve, Depardieu...) paraissent bien fades à côté de sa performance. Côté réalisation, Dahan a choisi une construction assez déroutante dans le fil des flashbacks, mais qui permet une cohésion originale dans les thèmes abordés. De son enfance difficile dans les rues de Paris à son ascencion en passant par les multiples tragédies qui ont traversées sa vie, le film retrace les étapes qui ont fait d'Edith Piaf la légende qu'elle est aujoud'hui. Les scènes où l'on découvre les mythiques chansons, qui prennent là toutes leurs dimensions, sont des moments d'intense émotion, qui atteignent leur apogée avec le déjà culte plan séquence de la mort de Ceyrdan. Une scène magistralement réalisée et qui encore souligne le talent de Marion Cotillard et sa capacité à étaler magistralement sa palette d'émotions. Un film qui n'est pas parfait mais que l'on pardonne très facilement au vue des moments intenses qu'il peut procurer. A voir rien que pour Marion Cotillard et pour encourager ce cinéma français dans ses ambitions (qui ne sont assurémment pas les mêmes que celles d'un autre "cinéma" français: Taxi4).

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15 février 2007 4 15 /02 /février /2007 23:03

mika

mikaalbumC'est la découverte musicale de ce début d'année. Travailler à MTV ça a du bon, notamment de pouvoir découvrir des véritables perles musicales. La dernière en date s'appelle Mika. Son premier single sorti internationalement, "Grace Kelly" est une chanson des plus entraînante et portée par une voix exceptionnelle. Paraît-il qu'il peut rivaliser avec Mariah Carey, même si il n'aime pas trop la comparaison, mais bon faut assumer son talent mec! ^^ Ce chanteur aux origines multiples, libano-anglo-franco-etcetero, nous livre un album haut en couleur, à l'image de sa jaquette. Des compositions de qualité et une énergie contagieuse débordent à chaque titre. Toutes les chansons sont d'ailleurs d'excellente facture, même si on est amené à avoir quelques préférences, il faut reconnaître qu'elles sont toutes de qualité divine. Pas une pou rabaisser un niveau élevé. Des titres comme "Relax, Take it Easy", "Billy Brown", "Big Girl, You Are Beautiful" ou encore ma favorite "Lollipop", sont destinées à devenir cultes. Au final c'est un album qui mélange le meilleur des influences pop britanniques avec une voix exceptionnelle qui rappelle le mythique Freddy Mercury. Et en plus comme la vidéo suivante peut vous le montrer, le mec assure en live, et moi j'aime les entertainers! A vous de juger en regardant un live acoustique du titre "Grace Kely". Vous allez tomber sous le charme.

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A noter qu'il sera en concert le 4 avril prochain au Traubendo à  Paris. J'y serais, et vous?

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14 février 2007 3 14 /02 /février /2007 20:13

museum

Ben Stiller nous revient dans le même registre comique pour lequel il est connu, toutefois un petit peu atténué, film pour enfants oblige. Alors oui, le film ne révolutionnera pas le genre de la comèdie, le scénario est prévisible, les bons sentiments coulent à flot, la réalisation est classique et certains gags tombent à l'eau.

MAIS, Ben Stiller me fera toujours marrer (vivement Zoolander 2), les effets spéciaux sont réussis, l'ambiance générale que dégage le film rappelle les bons souvenirs qu'avaient laissé les Jumanji ou autres Goonies et on ne voit pas le temps passer. Les personnages du musée sont sympathiques parmi lesquels on retrouve un Robin Williams grimé et touchant et un Owen Wilson en cowboy miniature. On pardonnera aussi le surjeu peu crédible de Dick Van Dyke alias Bert dans Mary Poppins. Et puis ne boudons pas notre plaisir jouissif enfantin à voir un fossile de T-Rex prendre vie ou une armée de soldats miniatures s'affronter sans vergogne. On peut donc dire que le film tient ses promesses. Il suffit d'y aller en se disant que ces dites promesses n'avaient pas d'autres intentions que de proposer un divertissement de qualité, comme savent le faire les américains. A visiter!
 

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1 février 2007 4 01 /02 /février /2007 22:47

cashback

Voici mon premier coup de coeur cinéma de l'année, Cashback, un film réaslié par Sean Ellis d'une virtuosité extrême que ce soit dans la mise en scène (les plans de transition des flashbacks sont à tomber par terre, surtout le premier!) ou dans la direction d'acteurs . Rarement un film peut se targuer d'emmener le spectateur dans un monde aussi poètique malgré les thèmes abordés. Je suis sorti de la salle euphorique, content d'avoir été embarqué dans l'histoire de ce jeune homme touchant et sensible et de son univers artistique. Sans vous dévoiler trop le pitch, ce garçon qui travaille dans un supermarché de nuit, joué par Sean Biggerstaff révélé dans les Harry Potter tout de même, a le pouvoir d'arrêter le temps afin de dessiner des clientes dont il prend soin d'exhiber les plus belles courbes. Ce qui donne des scènes absolumment magnifiques, débordantes d'idées et visuellement époustouflantes (mention à la scène finale dans la neige!). Les acteurs sont tous parfaits avec des seconds rôles très forts, le boss est à mourrir de rire, de même pour les collègues du supermarché. En traitant de manière intelligente les thèmes de l'amour et du temps et en alternant les moments drôles voire même hilarants (le match de foot), poètiques et émouvants, Cashback est LE film à voir du moment. C'est un coup de coeur que je vous recommande très vivement. Dommage qu'il soit si mal distribué dans les salles, j'espère que grâce au bouche-à-oreilles, on pourra en faire un autre succès surprise comme l'a été Little Miss Sunshine à la fin de l'été dernier.

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30 janvier 2007 2 30 /01 /janvier /2007 22:34

longwayParlons un peu littérature! Vous ne connaissez peut-être pas Nick Hornby, et bien il y a quelques mois de ça moi non plus. Je suis arrivé à me documenter sur l'auteur quand j'ai lu que le livre de chevet du moment de Johnny Depp était "A Long Way Down" du monsieur. Ni une, ni moins, après un rapide coup d'oeil au résumé sur Amazon, je l'achète en VO à la Fnac. Déjà l'anglais Hornby n'en est pas à son coup d'essai, il a à son actif les romans "About a Boy" ou encore "High Fidelity", qui se sont tous les deux retrouvés adaptés au cinéma (avec notamment Hugh Grant pour le premier et John Cusak pour le second). Je me suis plongé dans la lecture du roman qui se lit très facilement même en anglais, le style d'écriture est fluide et on bute rarement sur des expressions compliquées ou autres figures de style pompeuses. "A Long Way Down" raconte donc l'histoire de quatre individus qui ont pour point commun de vouloir en finir avec la vie et qui se retrouvent par hasard tous au sommet d'un building lors de la réveillon de la Saint Sylvestre. Un présentateur télé ringard et impliqué dans une sale affaire de pédophilie, une jeune ado rebelle au langage particulier, une mère désespérée et un jeune livreur de pizza désillusionné vont tous raconter leur histoire et leurs péripéties durant le roman de leur propre point de vue. Dépourvue de chapitres, la construction originale du récit permet de développer le caractère et les points de vue personnels de chaque protagonistes au fil du récit. Bref, une écriture vivante, des thèmes sérieux abordés avec un humour délicat et frais et des personnages intéressants font de ce roman un petit bijou du genre qui confirme le succès de son auteur qui a le vent en poupe.

Pour info le roman a été traduit en français sous le titre "Vous Descendez". Et notons que la société de Johnny Depp, Infinitum Nihil, a semble-t-il acquis les droits en vue d'en faire un film. Quand je vous disais qu'il avait aimé!

notes9

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12 janvier 2007 5 12 /01 /janvier /2007 21:58

bloodydimaond

J'ai eu la chance de pouvoir visionner en avant-première le film Blood Diamond pour le site Actuacine.net:

"Le début de l’année dernière avait amené son lot de films engagés, en 2006 nous avions donc eu le pamphlet contre le trafic d'armes Lord of War , ou encore le message très actuel du Good Night & Good Luck de Georges Clooney. 2007 ne déroge pas à la règle et confirme la nouvelle lubie d'Hollywood qui consiste à produire des films porteurs de messages tout en restant très divertissants. Avec Blood Diamond, le dernier film de Edward Zwick à qui l'on doit Le Dernier Samouraï, mettant en vedette Leonardo DiCaprio, la recette précitée est respectée. Dénonçant le trafic de diamants qui nourrit la guerre civile au Sierra Leone, le film reste néanmoins un excellent film qui accumule les prouesses de mise en scène.

Le film suit l'histoire de deux personnages chacun aux antipodes l'un de l'autre, Solomon Vandy (Djimon Hounsou) modeste pêcheur et Danny Archer (Leonardo DiCaprio), mercenaire, qui vont devoir unir leurs forces afin de retrouver un précieux diamant rose susceptibles de changer leurs destins. Cette fiction filmée sur fond plus que réaliste, décrit les plaies qui gangrènent l'Afrique, à savoir l'exploitation des richesses du sol par les sociétés occidentales. Comme le dit un personnage dans le film, le pays dans lequel on découvre une matière précieuse n'en ressort jamais indemne. Et le film illustre parfaitement cette pensée, le peuple est mis à mal violemment dans une guerre civile des plus sauvages, opposant le gouvernement et le front révolutionnaire. L'ouverture du film est à ce titre très violente, dans le sens premier du mot, c'est à dire la capacité de l'homme à se faire du mal et à détruire des vies, des communautés et des pays. Cette scène et les autres qui ponctuent le film sont prenantes, le spectateur est plongé dans le chaos grâce à une caméra nerveuse portée à l'épaule et en constant mouvement. En plus de couvrir cet état, Edward Zwick s'est aussi attardé à dénoncer le scandale des enfants soldats à travers le personnage du fils de Solomon et des scènes affligeantes dont l'impact n'est que fortifié en sachant que c'est ce qui se passe véritablement. On regarde, indigné et avec un sentiment d'impuissance très frustrant.

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En tête d'affiche, c'est un casting parfait qui nous livre des performances remarquables. Leonardo DiCaprio dont le jeu est plus mature que jamais dans le rôle de cet anti-héros, a su exploité la noirceur que trois films avec Martin Scorcese ont du faire travaillé, et l'accent rhodésien qu'il prend pour les besoins du personnage ne font que crédibiliser son approche. Jennifer Connely joue avec conviction une journaliste utopiste et idéaliste, le personnage et les relations avec celui de DiCaprio auraient gagnés a être plus approfondis pour le rendre plus attachant. Mais la révélation du film est bel et bien Djimoun Hounsou qui livre une interprétation poignante et sincère du pêcheur arraché des siens et à la recherche de sa famille. Une performance qui lui vaudrait bien une nomination aux prochains Oscars.

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C’est dans un sentiment de constant danger que l’on parcourt les 2h22 du film, entres scènes de bravoure brillamment mises en scène (à l’image de la bataille finale) et scènes chocs (le lavage de cerveau des enfants soldats). Dommage que la réalité pessimiste décrite durant tout le film soit quelque peu gâchée par un (trop) long épilogue qui succombe au piège facile du happy end hollywoodien dans une note optimiste plutôt malvenue dans le contexte actuel. Mais cela n’enlève rien à l’efficacité du film qui demeure un excellent film d’aventure porté par des performances
notes8

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1 janvier 2007 1 01 /01 /janvier /2007 18:38

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Je vous souhaite une excellente année 2007!

Mes résolutions:
- Réaliser mes projets et terminer ceux que j'ai commencé
- Être plus ouvert
- Plus voir ceux et celles que j'aime!

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24 décembre 2006 7 24 /12 /décembre /2006 19:19

Je vous souhaite un excellent réveillon et d'heureuses Fêtes! Qui d'autres que Robbie Williams pour finir l'année en beauté, dans ce sketch de l'émission britannique présentée par les célèbres Ant & Dec où Robbie essaye tant bien que mal d'entonner "White Christmas" accompagné d'un choeur de chanteurs qui ont vu passé beaucoup de Noël! Un grand moment:

JOYEUX NOËL!

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20 décembre 2006 3 20 /12 /décembre /2006 23:10

J'ai eu la chance d'assister à la projection en avant-première de qui sort le 28 février 2007 chez nous. Voici ma critique rédigée pour ActuaCiné.net:

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Des planches de Broadway au grand écran hollywoodien il n’y a qu’un pas que les studios ont allègrement franchi depuis le revival des comédies musicales au cinéma. Moulin Rouge, Chicago, Le Fantôme de l’Opéra et autres Rent ont remis au goût du jour le genre avec plus ou moins de succès, mais pour la plupart cela été plus que bénéfique. C’est donc sans surprise de voir que c’est une autre adaptation qui va créer l’événement sur les écrans américains ce Noël. En transposant le musical culte crée en 1981, Dreamgirls par Michael Benett, le réalisateur Billy Condon montre les différentes étapes de la célébrité et ses conséquences, à travers les hauts mais aussi les bas de la carrière de trois chanteuses surnommées les Dreamettes, et leurs rencontres avec les acteurs d’un système diabolique appelé le show-business.

En tête d’affiche on retrouve la chanteuse pop Beyoncé Knowless, plus habituée encore des top 50 que des plateaux de tournages mais qui délivre une performance tout à fait honorable et sincère. A ses côtés, Jamie Foxx, musicien confirmé dans la vie et déjà habitué du genre Motown avec la biopic de Ray Charles qui l’avait révélé, il met ici ses talents à profit dans les numéros musicaux qu’il allie avec un rôle de manager sans scrupules à la mesure de sa renommée. Eddy Murphy fait son grand retour dans le rôle de Jimmy Thunder Early et étonne dans un registre très éloigné des caricatures qu’il s’est lui-même dessinées lors de sa carrière comique. Aussi bons que soient les trois comédiens précités, la vraie révélation du film est sans aucun doute Jennifer Hudson, rescapé de American Idol, l’équivalent outre-atlantique de nos Star Academy et Nouvelle Star, elle délivre un jeu d’actrice irréprochable et fait passer les émotions du personnage avec une aisance très professionnelle. Mais ce sont ses performances vocales qui sont les plus remarquables, lors de la complainte And I Am Telling You I'm Not Going, elle dégage une puissance vocale impressionnante et une présence à l’écran qui clouera les spectateurs sur leurs sièges. Elle réussit sans peine à éclipser Beyoncé du devant de la scène et part sous les meilleurs hospices pour les prochaines nominations aux Oscars dans la catégorie du Meilleur Second Rôle Féminin.

Le film bénéficie d’une mise en scène énergique qui laisse très peu de temps morts entres les scènes musicales qui atteignent des sommets du genre. Ce n’est pas pour autant que le développement des personnages y est bâclé, autant pour les premiers rôles que les seconds (qui comptent parmi eux Danny Glover et Keith Richardson). On s’identifie sans peine aux héroïnes, à leurs doutes et à leurs joies mais aussi à leurs désillusions et déceptions.

Les numéros musicaux sont enlevés et vous ne pourrez pas vous retenir de tapoter du pied durant les scènes. Les performances de Beyoncé, Jennifer Hudson ou Eddy Murphy (épatant !) sont sublimées par une très belle photographie qui mêle brillamment les éclairages réalistes à une lumière typique des comédies musicales. Les costumes sont un brillant hommage aux idoles du Motown rappelant l’exubérance d’une Aretha Franklin ou des Suprêmes. Les paillettes brillent de milles feux et les perruques sont extravagantes, c’est glamour à souhait et on en redemande. Ajoutez des chorégraphies enjouées signées Fatima Robinson maintes fois primée dans sa discipline et vous obtenez des numéros à l’image du disco One Night Only ou qui resteront dans vos mémoires une fois sorti de la salle.

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Les protagonnistes du film

Dreamgirls tient toutes ses promesses, celles d’offrir un divertissement de qualité et très glamour pour les amateurs du genre musical et Motown avec des acteurs de premier choix et des numéros musicaux qui n’ont rien à envier à ceux de Broadway. Un film rempli de couleurs, que ce soit musicales ou bien d’émotions."

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notes9

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